« Je crois que ma patrie... mon capital c’est d’être apatride. C’est ce qui me pousse à continuer. C’est ce qui fait que dès que je suis quelque part, je suis très curieux, je deviens tout de suite un viennois, un français, un allemand. J’ai passé un an en Amérique, et j’ai tout de suite lu des livres en anglais. Je n’ai pas vraiment de patrie. »